Georges YAMEOGO est un photographe résidant à Dakar au Sénégal.

ses photos, de façon générale, relatent la vie des gens.

son attention aux attitudes des gens dans la rue ou chez eux viennent d’une attention générale aux conditions politiques et sociales, que la photo permet d’exprimer en plus de sa dimension esthétique.

C’est ainsi qu’il a été sensible au bouleversement du monde du travail dans des proportions jamais vue a ce jour causé par cette pandemie de covid19.  Afin de protéger la vie et la santé de la population dans la durée sans causer de dommages irréversibles à l’économie  de nombreuses entreprises  ont pousser leurs travailleurs à télétravailler à domicile, si leurs fonctions le permettaient . Mais cette nouvelle manière de travailler n’est pas sans conséquences car elle a des avantages et des inconvénients comme la  solitude, isolement ect… qu’il a voulu montrer par ses photographies appellées eSOLITUDE.

L’objectif est des photos est :

–                Avertir le grand public sur cette nouvelle facon de travailler, présenter ces avantages et ses inconvénients.

Retour à la terre

Mes photos, de façon générale, relatent la vie des gens, (leurs faits et gestes professionnels, la cuisine, les fêtes, les marches, les déplacements, les temps d’attente…)

Mon attention aux attitudes des gens dans la rue ou chez eux viennent d’une attention générale aux conditions politiques et sociales, que la photo permet d’exprimer en plus de sa dimension esthétique.

C’est ainsi que j’ai été sensible au retour des jeunes dans l’agriculture familiale au début de la pandémie de covid19. Plus qu’une tendance, c’est une réalité forte que j’ai observée en Casamance au Sénégal.

Cette pandémie qui menace la vie des peuples dans le monde, menace surtout les moyens de subsistance des populations en Afrique de l’Ouest.

L’objectif est de mes photos est :

• Avertir le grand public que l’agriculture familiale est une solution aux problèmes sociétaux et environnementaux rencontrés partout dans le monde.

• Car ce modèle d’agriculture caractérisé par sa diversité et sa résilience, a la capacité de proposer des réponses adaptées aux défis alimentaires, sociaux et environnementaux.

Le tchapalo est une bière traditionnelle à base de mil commune à plusieurs peuples d’Afrique de l’Ouest. Sa fabrication au Burkina Faso dans le contexte traditionnel est uniquement l’œuvre de femmes, qui en ont hérité en ligne maternelle selon les us de la tribu d’origine.

 Bien avant la période précoloniale, les femmes étaient déjà les seules instigatrices de la vente de cette bière.

Même dans la consommation, elles ne sont pas en reste.  Le tchapalo est recommandé pour les femmes à une période bien spécifique : La grossesse. Etat durant lequel la femme voit sa diète marquée par de nombreuses prohibitions alimentaires et compte tenu de ses propriétés curatives (« soigne le ventre »), dépuratives (« fait sortir les saletés du ventre ») et amincissantes (« fait sortir les excès de graisse ») le tchapalo se positionne comme un excellent appoint.

YOPI est un projet photographique qui a rassemblé les enfants issus de la banlieue et ceux de la ville de Dakar tous ensemble pour apprendre dans un esprit de solidarité. La photographie étant une pratique courante chez les jeunes et il nous apparaissait intéressant de mieux les guider dans cette pratique. Une action pour la transmission du savoir, la pratique artistique collective.

La finalité du projet est la création d’une exposition autour des photographies des adolescents.